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Les incubateurs d'Occitanie se rassemblent en un seul réseau

Les incubateurs d'Occitanie se rassemblent en un seul réseau | Toulouse networks | Scoop.it

En fusionnant deux réseaux existants, RésO Incubateurs Pépinières + rassemble 47 structures en Occitanie.

 

Un nouveau réseau d'incubateurs de startups a vu le jour en Occitanie jeudi 6 décembre. Nommé RésO Incubateurs Pépinières +, il doit sa naissance à la fusion de Rezopep (ex-Midi-Pyrénées) et de Synersud (ex-Languedoc-Roussillon). Le nouvel ensemble fédère ainsi 47 structures qui accompagnent au total 4 300 entreprises sur l'ensemble du territoire de la région Occitanie, dont l'incubateur Nubbo à Toulouse. Le but de cette démarche est d'améliorer l'attractivité de l'innovation régionale.

L'agence de développement économique de la Région Occitanie, Ad'Occ, a annoncé jeudi 6 décembre la création d'un nouveau réseau de pépinières et d'incubateurs de startups : RésO Incubateurs Pépinières +. Celui-ci est en réalité le fruit de la fusion de deux réseaux existants, Rezopep présent dans l'ex-région Midi-Pyrénées et Synersud installé dans l'ex-région Languedoc-Roussillon.

"Le fait d'avoir un seul et même grand réseau qui parle d'une seule voix est important pour l'attractivité et la visibilité de l'Occitanie. Ensuite, cette fusion sera utile pour un échange de bonnes pratiques, pour aller chercher des financements, animer un territoire, etc. Nous ne faisons pas qu'additionner des incubateurs", explique Marie-Thérèse Mercier, conseillère régionale et vice-présidente de l'agence Ad'Occ.

AD'OCC lance «RésO Incubateurs Pépinières + », le nouveau réseau des #pépinières et des #incubateurs d'Occitanie. 47 structures sur l'ensemble de la région @Occitanie : incubateurs et pépinières d'entreprises, Maisons des entreprises, CEEI ou BIC https://t.co/LCocGN2cn9 pic.twitter.com/402fm3omV9

— AD'OCC (@ADOCC_) 6 décembre 2018

 

Quelques éléments restent encore inconnus, comme la direction de ce réseau. Cependant, il sera coordonné par l'agence Ad'Occ, dirigée par Thomas Bascaules. L'agence couvre l'ensemble du territoire de la région Occitanie grâce notamment à des antennes dans chacune des Maisons de la Région. "Notre objectif est bien de couvrir l'ensemble du territoire, c'est ce qui fait la force du réseau", appuie la vice-présidente de l'agence de développement économique.

Disposer de moyens supplémentaires

Ce nouveau réseau fédère au total 47 membres qui représentent 4 300 entreprises. Parmi eux, se trouve l'incubateur de startups toulousain Nubbo qui accompagne entre quinze et vingt entreprises simultanément. Sa directrice, Anne-Laure Charbonnier, voit une série d'opportunités avec cette évolution.

"Il proposera des actions communes de formation que pourront suivre nos collaborateurs, en particulier les débutants, sur les bonnes pratiques de nos structures. Il y a aussi des actions communes avec des pôles d'étudiants et d'entrepreneurs où nos structures n'auraient pas la masse critique pour s'y rendre seules".

À titre d'exemple, l'incubateur Nubbo prépare avec d'autres structures une action de communication commune de promotion des startups à l'occasion du prochain salon Occitanie Innov, le 31 janvier 2019 à Toulouse. Sans l'action collective, Nubbo se serait contenté d'un simple stand.

"Les actions collectives n'étaient pas aussi concrètes auparavant. Le réseau existant sur la partie ex-Midi-Pyrénées portait des actions communes, qui étaient davantage des actions de promotion classique du réseau lui-même. Nous n'étions pas à ce niveau d'actions opérationnelles sur nos métiers", se réjouit la dirigeante.

Les incubateurs gardent leur indépendance

Cependant, "chaque incubateur a sa propre vie, et continuera d'avoir sa propre stratégie étant donné qu'ils ne visent pas tous le même public", insiste Marie Thérèse Mercier.

Avec une meilleure attractivité, l'enjeu pour ce nouveau réseau est d'accompagner toujours plus d'entreprises à travers ses membres-incubateurs. Marie Thérèse Mercier rappelle ainsi qu' "une entreprise qui n'est pas accompagnée par un incubateur à 50 à 60% de chances de survire à cinq ans, là où une entreprise accompagnée à plus de 80% de chances de survivre. Être accompagnée renforce la capacité des sociétés à pérenniser leur activité".

 

Par Bryan Faham

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Station F : ce qu'il faut savoir du campus de start-up géant de Xavier Niel

Station F : ce qu'il faut savoir du campus de start-up géant de Xavier Niel | Toulouse networks | Scoop.it

C'est un projet majeur pour l'écosystème start-up en France. Station F, le plus gros campus de start-up au monde ouvrira ses portes le 1er juillet prochain, après 3 ans de travaux. A l'origine du projet, Xavier Niel y aura investi 250 millions d'euros, sur ses deniers personnels. 

Tour d'horizon de ce qu'il faut savoir sur ce projet, inauguré ce soir en présence du Président Emmanuel Macron et de la Maire de Paris, Anne Hidalgo. 

Un espace pensé pour faciliter l'échange et les rencontres

Avec des coûts de fonctionnement estimés entre 7 et 8 millions d'euros par an, l'ambition finale de Station F n'est pas la rentabilité à tout prix. L'objectif du projet est donc avant tout de soutenir l'écosystème start-up français, et de lui permettre de s'ouvrir à l'international. 

Au total, plus de 3 000 postes de travail seront mis à disposition des start-up, de même qu'une soixantaine de salles de réunion, un auditorium, un fablab, un pop-up store, etc. Avec 8 espaces dédiés à l'événementiel, les résidents de Station F se trouveront au coeur de l'écosystème innovant. Le bâtiment est divisé en trois grands espaces: la zone Share, pour travailler, la zone Create, pour échanger, et enfin la zone Chill, pour se détendre et se restaurer. Cette dernière sera ouverte au public. 

A noter, Station F est la première brique d'un projet de plus grande ampleur, qui comptera également un co-living space dédié aux entrepreneurs. Ces derniers pourront être hébergés à une dizaine de minutes de Station F. Une centaine d'appartements partagés seront mis à leur disposition, de même qu'une salle de fitness et des espaces détente. 

 

Crédit photo : Patrick Tourneboeuf pour Station F

Lire aussi : 10 chiffres à connaître sur Station F, le plus gros campus de start-up au monde

Plus de 20 programmes d'accélération sur site

Au coeur de Station F se trouve le Founders Program, programme d'accélération mis au point par Roxanne Varza et son équipe. Pour 195 euros par mois et par espace de travail, les entrepreneurs du monde entier souhaitant travailler à Paris auront accès à des ressources pour se développer. Ils auront notamment accès à l'expertise d'un réseau d'entrepreneurs sélectionnés, à des événements exclusifs, ainsi qu'à des avantages sur certains logiciels et services reconnus par leurs pairs. A noter, la philosophie du programme est basée sur l'indépendance des entrepreneurs: «Pas de mentors ou de meetings obligatoires, uniquement une sélection unique de ressources et d'experts disponibles (…), à la carte», peut-on lire sur son site.

Au-delà du Founders Program, un certain nombre d'entreprises ont décidé d'implanter un programme d'accélération de projets sur place. Au total, 21 programmes s'y côtoieront au quotidien. On retiendra notamment le Start-up Garage de Facebook, qui accompagnera 12 start-up à la rentrée, Impulse, l'incubateur de Vente-privee, ou encore le programme dédié à l'intelligence artificielle développé par Microsoft, en partenariat avec l'INRIA. 

 

Crédit photo : Patrick Tourneboeuf pour Station F

Lire aussi : Quels programmes d’accélération seront hébergés à Station F ?

1 000 start-up hébergées 

Au total, 1 000 start-up devraient être hébergées dans cet espace de 34 000 mètres carrés. Si toutes les start-up présentes à la rentrée ne sont pas encore connues, un certain nombre d'accélérateurs ont déjà annoncé les noms des heureux élus qui inaugureront leur programme. 

Facebook a ainsi présenté les 12 start-up qui feront partie de son Start-up Garage à partir de septembre.  JamAlan, Mapstr, Chekk, The Fabulous, Onecub, Karos, Bruno, The School Project, Welcome To The Jungle, Glose et Riminder composeront ainsi la première promotion de ce programme. 

De même, Vente-privee a dévoilé en mars les noms des 5 start-up qui feront partie de la première session d'Impulse. On y retrouve Fitle, Shipup, ShorTouch, Wishibam et EasySize. D'autres start-up seront également présentes, à l'image de RMOpportunities, de SoBus et de BonjourIngrid. 

 

Crédit photo : Patrick Tourneboeuf pour Station F
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En savoir plus

 

https://stationf.co/fr/campus/

 

 

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Mounir Mahjoubi à la rencontre des startups toulousaines

Mounir Mahjoubi à la rencontre des startups toulousaines | Toulouse networks | Scoop.it

A cette occasion, Mounir Mahjoubi, Secrétaire d’État auprès du Premier ministre, chargé du Numérique a rencontré le Président de l’association La Mêlée, Edouard Forzy

Le Secrétaire d’Etat en charge du Numérique Mounir Mahjoubi, était présent à Toulouse ce jeudi 21 et ce vendredi 22 décembre 2017, afin de rencontrer des startups du territoire, notamment au sein de l’incubateur de Météo France.

 

Des annonces concernant un rapprochement entre la GreenTech verte et la French Tech ont été effectuées à Toulouse le 22 décembre 2017, après une matinée de rencontres avec les entrepreneurs installés dans l’incubateur GreenTech verte de Toulouse. 

Concrètement, il s’agit, d’une part, d’un rapprochement entre la GreenTech verte et la French Tech visant à renforcer et développer les liens entre les porteurs de projets innovants au service de la transition écologique et solidaire ; d’autre part, d’un paquet numérique économie circulaire : une démarche d’intelligence collective à l’occasion de la parution de la feuille de route sur l’économie circulaire en mars qui aura pour objectif de faciliter la mise à disposition des données, notamment des secteurs des déchets, et de favoriser le développement d’un nouveau modèle économique.

Implanté depuis mars 2017 dans les locaux de Météo France, le site accueille les lauréats « GreenTech verte » du ministère de la Transition écologique et solidaire basés en région Occitanie. Il est également ouvert aux agents de Météo-France et aux élèves de l’Ecole nationale de météorologie. Le déplacement à Toulouse venaient clore la consultation en ligne initiée par les pouvoirs publics en septembre 2017. Le « Tour des startups », démarche visant à échanger avec les porteurs de projets pour identifier tous les freins que les startups rencontrent encore dans leur secteur d’activité, se clôtura mi-février avec de nouvelles étapes en perspective. A cette occasion, Mounir Mahjoubi, Secrétaire d’État auprès du Premier ministre, chargé du Numérique a rencontré le Président de l’association La Mêlée, Edouard Forzy (en photo ci-dessus).

 

MID e-news

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L’incubateur Esa Bic Sud France présente sa première promotion, deux start-up de Toulouse sélectionnées

L’incubateur Esa Bic Sud France présente sa première promotion, deux start-up de Toulouse sélectionnées | Toulouse networks | Scoop.it

Esa Bic Sud France, programme d’incubation du secteur spatial, a soufflé sa première bougie le 1er juillet, à Toulouse, dans le cadre du Toulouse Space Show. L’occasion pour l’Agence spatiale européenne, le Cnes et le pôle Aerospace Valley de revenir sur les grands enjeux liés au développement de start-up dans cette filière. Objectif : participer à la création de 75 entreprises dans les cinq ans en Midi-Pyrénées, Aquitaine et Paca. Parmi les 7 premières start-up incubées, FligthWatching et Imajing sont basées à Toulouse.

"Nous fêtons un double anniversaire, se réjouit Franco Ongaro, directeur technique et management de la qualité à l’Esa, l’Agence spatiale européenne. Nous célébrons les dix ans du dispositif Esa Bic et le premier anniversaire de l’Esa Bic Sud France." Fondé en 2013, cet Esa Bic (pour "Business innovation center") local, coordonné par le pôle de compétitivité Aerospace Valley, en association avec le Cnes et le pôle Pégase, est le premier du genre en France.

Ce programme d’incubation, qui concerne les régions Midi-Pyrénées, Aquitaine et Paca, vise à soutenir la création de start-up utilisant des technologies, des applications ou des services provenant du spatial et souhaitant développer leur business vers un marché non spatial. "Aujourd’hui, nous comptons onze Esa Bic en Europe, qui ont accompagné environ 250 start-up, s'enorgueillit Franco Ongaro. Notre objectif est de passer du 'global du spatial' au 'local des régions', afin de générer de la croissance et de l’emploi."

Le levier de l’entreprise innovante
La création d’un tel dispositif dans le Sud de la France a répondu à une problématique complexe à appréhender pour le secteur spatial. "Avant que son produit soit développé, certifié puis adopté par l’univers industriel, une start-up a le temps de mourir dix fois, analyse Agnès Paillard, présidente d’Aerospace Valley. Nous avons longtemps buté sur ce constat. Pourtant, il y a des choses extraordinaires à promouvoir dans les applications spatiales. C’est ce qui nous a amené à participer à la création de cet Esa Bic. Nous fondons beaucoup d’espoirs sur cet incubateur, qui nous permet d’actionner le levier de l’entreprise innovante. Nous créons une impulsion."

Un positionnement que partage Thierry Duquesne, directeur de la prospective, de la stratégie, des programmes, de la valorisation et des relations internationales du Cnes : "Cet incubateur est la pierre angulaire du dispositif que nous cherchons à mettre en place afin de promouvoir la création de start-up."

Objectif : 75 entreprises accompagnées en cinq ans
Depuis sa création, Esa Bic Sud France a accueilli sept jeunes entreprises issues des trois régions. Parmi elles, la société toulousaine FlightWatching, dirigée par Jean-Philippe Beaujard et Olivier Ho Dac. Ils ont développé un système permettant de réaliser un diagnostic d’avions sur des pannes survenues en plein vol, en temps réel et à distance. "Nous utilisons les capacités de l’avion à communiquer avec le sol pour apporter de l’information, ce qui permet de gagner beaucoup de temps", explique Olivier Ho Dac.

La société Imajing, basée à Ramonville-Saint-Agne, est quant à elle spécialisée dans les technologies de géolocalisation et de cartographie mobile à grande vitesse pour les réseaux de transports.

Aux 7 start-up, l'incubateur a apporté un soutien financier (50.000 euros conjointement avec BPI France), mais aussi un accompagnement personnalisé, une expertise technique via le Cnes et l’assistance des pôles de compétitivité. Quatre nouvelles sociétés intégreront la structure prochainement. Objectif : atteindre les 75 entreprises accueillies dans les cinq ans. "C’est un bel objectif, estime Franco Ongaro. Mais je suis sûr que nous ferons davantage."

Alexandre Léoty

Jacques Le Bris's insight:

En savoir plus :

Esa Bic Sud France, animé par cinq structures d’accompagnement à la création d’entreprise (Estia Entreprendre, Bordeaux Technowest, CEEI Théogone, Incubateur Midi-Pyrénées et Incubateur Paca-Est), accueille actuellement sept start-up en Midi-Pyrénées, en Aquitaine et en Paca. Leur point commun : elles utilisent chacune à leur manière des technologies issues de l’univers du spatial. 

Les 5 autres start-up incubées:

La société aquitaine Aguila Technologie est spécialisée dans les systèmes électroniques communicants et la géolocalisation. Flyops, basée à Mérignac, propose aux exploitants d’avions d’affaires des services de support aux opérations.

L’entreprise Cynsis, implantée à Sophia Antipolis, est spécialisée dans la conception de dispositifs innovants permettant de structurer et partager des données en cas de catastrophe environnementale. La société Whoog, basée dans la même ville, a développé de son côté une plateforme de coordination d’urgence permettant de faire face aux imprévus. Un outil de gestion des ressources humaines qui s’applique notamment au secteur de la santé. Enfin, autre société azuréenne : Instant System, qui a développé un logiciel de calcul d’itinéraire en temps réel dédié aux transports en commun.

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