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Considérant le fait que les individus sont de plus en plus mobiles et «sociaux»,il apparaît logique que la gestion des dossiers de certification revienne à la fois à l’individu ET aux institutions qui les ont formé et non à une autorité «centrale».
Via Thot - Cursus
Gilles Le Page's insight:
Stratégique !! Extrait : "Considérant le fait que les individus sont de plus en plus mobiles et sociaux, qu'ils changent d’école, de carrière, d’employeur, de pays, de contexte et ce de plus en plus souvent, il apparaît logique que la gestion des dossiers de certification revienne à la fois à l’individu ET aux institutions qui les ont formés et non à une autorité «centrale», autorité qui n’est jamais centrale pour un autre pays, une autre compagnie ou une autre entité de même niveau. C'est finalement à chaque institution que revient la gestion de sa crédibilité. 
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Scoop.it!
Il y a eu beaucoup d’agitation en France autour de l’acronyme MOOC et du mouvement lié aux États-Unis. Rappelons d’abord que c’est bien le nombre d’inscrits à ces cours (par milliers ou dizaines de milliers par cours) qui a retenu l’attention. Notons également que le mouvement pour décoller est passé par quelques étapes clés : d’abord l’initiative d’enseignants qui ont choisi d’ouvrir l’inscription à leur cours sur Internet, ensuite ces mêmes enseignants ont créé des portails suscitant et regroupant une offre visible, chaque cours étant accessible en 1 clic, avec comme affichage : 1 sujet attirant, 1 vidéo de présentation, 1 professeur et/ou un nom d’université. Via Marco Bertolini, Michelle Laurissergues
Gilles Le Page's insight:
un pont sur les MOOCs en France et en Europe : Conclusion de l'article : nous n'avons pas encore atteint la maturité
Marco Bertolini's comment,
May 28, 2013 11:42 AM
Je ne sais pas si on peut parler de "mouvement" MOOC. Le MOOC est simplement une modalité de formation : des cours en ligne, gratuits et ouverts à un grand nombre. Les MOOCs ne sont pas non plus la panacée. Ils sont basés sur des vidéos et des excercices standardisés, ce qui laisse finalement peu de possibilité d'interactions entre les apprenants et les professeurs. Surtout quand les apprenants sont 50.000 et les professeurs moins de 10... Les freins sont de plusieurs ordres : peur des universités de se lancer dans quelque chose de nouveau, dans un modèle économique peu clair. Peur de perdre des étudiants, des inscriptions, etc. Pourtant, il y a plusieurs dizaines de millions d'étudiants qui entreront à l'université dans les prochaines années et personne n'a les moyens de construire les universités "en dur" pour les recevoir. Il faut bien trouver des solutions alternatives. Les MOOCs en sont une, mais pas la seule.
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"Cette initiative semble donc la meilleure réponse à ce jour à ce problème quasi insoluble de la certification tout au long de la vie."